Au bord du champ.

L'an passé j'ai croisé Jean-Baptiste sur sa machine dans un nuage de poussière. Hop une photo sur le bord de la route, un instantané de vie pris au bord du chemin. Je pensais en faire une aquarelle, un jour.


Et puis en ce moment, je joue avec l'acrylique. je découvre, je tâtonne.

Hier soir, j'avais envie de peindre, j'ai farfouillé sur l'ordinateur, dans mes dossiers de 'trucs que j'ai envie de peindre' sans idée préconçue. Soudain 3 photo de cette vielle moiss'bat' de Jean-Baptiste.

Je me suis jeté sur une toile, et tiré en avant par les pinceaux, j'ai oublié de prendre les photos intermédiaires, je sais, ça va râler derrière les écrans.

Je me suis fâché avec le vert, pas assez opaque pas assez couvrant à mon gout, pourtant issu d'un mélange et non sorti direct d'un tube.

Je découvre encore l'acrylique, je n'ose pas trop contraster, mais je commence à tâter du glacis pour opacifier et foncer et là ça me rapproche de l'aquarelle, car ce n'est pas recouvrant.






















Entre la lumière de la nuit et la lumière du jour, la couleur change. c'est perturbant. Souvent ciel varie... quel est donc le vrai bleu que j'ai peint?






Un châssis 3D, peint sur les côtés à 'fond perdu'.







toile 3D - 20x20

Mais les aquarelles vont revenir bientôt, ça frémit, des idées de rues de village en lavis monochrome.

Et puis une expo fin septembre et là c'est dur, je peins, certes, mais les peintures je ne les garde pas longtemps. Je ne montre pas tout ici, sur le blog, il y a d'autre facettes à mes pinceaux et même un burin.



Le Villagiste.
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